Composition À Paris au début des années 1920, Buchet abandonne le futurisme et adhère à la Section d’or, un groupe d’artistes qui entend donner une assise solide au cubisme et jeter les bases d’un nouveau langage…
Forêt en Île-de-France (Sous-bois) Si après le cubisme, Henri Matisse et Pablo Picasso se lancent dans une « nouvelle synthèse », Derain quant à lui s’enferme progressivement dans une manière archaïsante. Prosaïsme des sujets, manque d’imagination dans la composition, faiblesse de…
La tour Avec La tour, Buchet s’approche au plus près de l’abstraction géométrique. Attiré par des compositions toujours plus rigoureuses, austères et épurées, par une peinture toujours plus plane, il pousse au plus loin les principes défendus…
Le Pharo, Marseille Dans la seconde quinzaine du mois de janvier 1901, Vallotton et son épouse Gabrielle font escale à Marseille alors qu’ils se rendent à Cannes à l’invitation de leur ami le peintre Édouard Vuillard. De retour…
Quatre torses Trop âgé pour partir au combat lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale, Vallotton partage la question qui taraude toute la communauté artistique : comment peindre la guerre ? Il explore nombre de pistes. Dans la peinture de…
Paysage du Midi Renoir découvre la Provence au retour de son voyage en Algérie et en Italie, en 1881-1882. Il rejoint Paul Cézanne à L’Estaque, port et massif de hautes collines situé aux portes de Marseille, motif de…
La bibliothèque Ce tableau qui représente une femme choisissant un livre dans une bibliothèque est bien loin des intérieurs nabis de Vallotton, dans lesquels se jouaient les drames de la vie bourgeoise. Il est loin aussi des…
Le palmier, Cagnes Vallotton arrive à Cagnes le 24 novembre 1920. Peint vers le début du mois de décembre, ce tableau est l’un des premiers réalisés lors de son séjour. Le village lui-même, où Auguste Renoir s’était installé…
Ouchy, près de Lausanne Dès la fin du XVIIIe et tout au long du XIXe siècle, les reliefs accidentés des hautes montagnes suisses attirent les peintres du monde entier. Corot se tient à l’écart de cette vogue du paysage…
Grand nu couché ou Nu étendu avec chien Dans La Gazette de Lausanne du 30 septembre 1923, Gustave Roud fait l’éloge d’Auberjonois, ce maître de la « peinture pure » encore trop peu connu de ses compatriotes : « La Suisse romande reste silencieuse.